21 décembre 2017, l’UMIH n° 1
Souvenez-vous, une grande réforme du syndicalisme français, la représentativité patronale.
Les pouvoirs publics décident de mettre, à l’image des organisations syndicales de salariés, chaque organisation patronale à sa juste place, les obligeant ainsi à se compter.
Ensemble, nous nous sommes comptés et le verdict est tombé le 21 décembre 2017 : l’UMIH est n° 1
Oui, l’UMIH, première organisation patronale du secteur des HCR avec 72 % d’entreprises, petite, moyenne, grande et indépendante ;
Oui, l’UMIH, maitre de la négociation sociale avec 50,31% de l’effectif salariés ; ce résultat lui confère la faculté de proposer, signer et s’opposer SEULE à un accord collectif, décidant SEULE de ce qui est applicable ou pas à l’ensemble des entreprises du secteur, adhérentes ou non, et ce, toujours dans l’intérêt de la branche et de ses adhérents.
Malheureusement, cette victoire a, comme toute victoire, provoqué quelques jalousies et pourtant… les chiffres ne trompent pas et ils ont le mérite d’être concrets et d’éviter tout jugement subjectif.
Le GNI a pourtant essayé en mettant en doute la sincérité des chiffres et a soulevé une erreur d’appréciation devant les tribunaux, espérant ainsi que les résultats plaçant, l’UMIH à la tête du secteur, soient annulés !
13 mai 2019, l’UMIH toujours n° 1
Perdu ! Les chiffres ne trompent pas et l’UMIH est bien numéro 1. Après la Direction générale du travail, c’est la Cour administrative d’appel de Paris qui le confirme, en rejetant le recours en annulation du GNI.
Chacun est mis (ou remis) à sa juste place par cette décision et la réalité du terrain.
2020, l’UMIH encore n° 1… On compte sur vous !
Nous continuerons, cependant, à œuvrer pour rassembler l’ensemble de la profession derrière l’UMIH, et surtout pour conserver le positionnement de notre organisation dans la prochaine pesée de la représentativité en 2020.
Bien cordialement